ici l’herbe est grasse
et le vert plus vert
qu’ailleurs
dans l’air se répand
l’odeur sucrée
de pommiers en fleurs
le ciel se décline
en nuances spéciales
penchées vers la terre
au bout de la plaine
il y a toujours une haie
qui t’invite à rêver
et oublier ta peine
et le vert plus vert
qu’ailleurs
dans l’air se répand
l’odeur sucrée
de pommiers en fleurs
le ciel se décline
en nuances spéciales
penchées vers la terre
au bout de la plaine
il y a toujours une haie
qui t’invite à rêver
et oublier ta peine
Texte de Luc Fayard inspiré par J'irai revoir ma Normandie, de Nathalie Bodet
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